Le montant que vous pouvez emprunter dépend de vos revenus totaux et, le cas échéant, de ceux de votre partenaire. La banque prendra également en compte votre situation socio-économique : avez-vous un emploi stable ? Quelle est la composition de votre ménage ? Votre conseiller veillera à ce qu’il vous reste suffisamment d’argent après vos remboursements pour couvrir vos besoins quotidiens.
Une règle générale : ne consacrez pas plus d’un tiers de vos revenus au remboursement de vos prêts en cours. Prévoyez également une marge de 5 à 10 % sur votre budget pour couvrir des imprévus, car les rénovations dépassent souvent les estimations initiales.
Si vous possédez déjà un logement, vous avez probablement un crédit hypothécaire en cours. Si vous avez remboursé une partie significative de votre prêt, vous pouvez demander à votre banque de réutiliser la garantie hypothécaire existante pour financer vos travaux. Cette formule évite les frais notariaux, car aucun nouvel acte n’est nécessaire. Les nouvelles conditions, comme le taux d’intérêt et la durée, seront fixées dans un contrat de prêt révisé.
Il est également possible de demander un crédit hypothécaire supplémentaire, qui offre généralement des taux d’intérêt plus bas que les prêts à la consommation. Cependant, cela implique des frais supplémentaires, notamment des frais notariaux pour l’enregistrement de la garantie hypothécaire.
Enfin, certaines banques proposent des conditions avantageuses pour des prêts liés aux travaux d’efficacité énergétique, avec des mensualités adaptées pour alléger la charge financière.
Le prêt à taux zéro permet de financer vos travaux d’amélioration énergétique ou de rénovation, tout en bénéficiant de conditions intéressantes. Vous pouvez emprunter un montant compris entre 1 000 € et 60 000 €, remboursable sur une durée pouvant aller jusqu’à 30 ans. Les mensualités tiennent compte des primes associées à vos travaux.
Toutes les informations sur le financement de votre rénovation sont disponibles ici.